Dans Le Monde du 2 février 2005, j’ai eu l’occasion de m’exprimer sur l’entreprise familiale (L'entreprise, un être vivant). Cet article était une réponse à celui de Frédéric Lemaître, paru quelques jours auparavant ; l’auteur voulait y montrer les limites de l’actionnariat familial en s’appuyant sur les problèmes récents d’entreprises comme Teisseire ou Marionnaud.
Travaillant étroitement et régulièrement avec des entreprises familiales, j’ai souhaité redonner sa place à une institution qui à mon sens a plus d’avenir que l’on pense.
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