Avant de travailler sur la Fnac, j'avais publié un autre cas : le groupe Renault . C'est le premier de ce qui sera peut-être une série.
Il se prêtait bien à l'analyse parce que son histoire est suffisamment longue pour qu'il soit possible d'y repérer des répétitions tant dans les comportements individuels et collectifs qui n'ont pas changé depuis les origines, que dans l'élaboration des décisions à caratère stratégique. D'autre part, Louis Renault a été sévèrement sanctionné après la guerre et ce "meurtre du père" est à l'origine d'un refoulement collectif dont les effets sont encore très sensibles dans cette entreprise.
Un commentaire du livre a été fait par Pierre Bilger ; il me semble à la fois objectif, fidèle et précis.
En 2000, j'avais publié un essai à caractère plus théorique intitulé Inconscient, Structures et Stratégie et dont l'objet était d'explorer la légitimité du rapport entre l'inconscient et l'entreprise.
En Juin 2005, j'ai publié un article dans la revue Humanisme et Entreprise qui souhaitait consacrer un numéro entier aux relations entre l'image, l'inconscient et l'entreprise. Loin d'être exhaustif, il explicite certaines des bases de l'inconscient des entreprises.
A la même époque, a été publié Courir ? Mais vers où ? Le vieux monde derrière nous ou devant nous ? dans le Cahier LaSer (N°9), accompagné d'un DVD reprenant l'essentiel d'un débat organisé par Philippe Lemoine dans le cadre du cercle Modernité On-Off, au Théâtre du Rond-Point. Y figure parmi d'autres, l'intégralité de mon intervention.
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